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3.10.14

ΤΡΑΓΟΥΔΑΕΙ Ο ΛΕΟ ΦΕΡΡΕ




ΤΡΑΓΟΥΔΑΕΙ Ο LEO FERRÉ


LE TEMPS DE TANGO


Moi je suis du temps du tango
Où mêm' les durs étaient dingos
De cett' fleur du guinche exotique
Ils y paumaient leur énergie
Car abuser d'la nostalgie
C'est comm' l'opium, ça intoxique
Costume clair et chemis' blanche
Dans le sous-sol du Mikado
J'en ai passé des beaux dimanches
Des bell's venaient en avalanche
Et vous offraient comme un cadeau
Rondeurs du sein et de la hanche
Pour qu'on leur fass' danser l'tango !

Ces môm's-là, faut pas vous tromper
C'était d'la bell' petit' poupée
Mais pas des fill's, ni des mondaines
Et dam', quand on a travaillé
Six jours entiers, on peut s'payer
D'un cœur léger, un' fin d'semaine
Si par hasard et sans manières
Le coup d'béguin venait bientôt
Ell's se donnaient, c'était sincère
Ah ! c'que les femmes ont pu me plaire
Et c'que j'ai plu ! J'étais si beau !
Faudrait pouvoir fair' marche arrière
Comme on l'fait pour danser l'tango !

Des tangos, y'en avait des tas
Mais moi j'préférais " Violetta "
C'est si joli quand on le chante
Surtout quand la boul' de cristal
Balance aux quatre coins du bal
Tout un manèg' d'étoil's filantes
Alors, c'était plus Valentine
C'était plus Loulou, ni Margot
Dont je serrais la taille fine
C'était la rein' de l'Argentine
Et moi j'étais son hidalgo
Oeil de velours et main câline
Ah ! c'que j'aimais danser l'tango !

Mais doucement passent les jours
Adieu, la jeunesse et l'amour
Les petit's mômes et les " je t'aime "
On laiss' la place et c'est normal
Chacun son tour d'aller au bal
Faut pas qu'ça soit toujours aux mêmes
Le cœur, ça se dit : corazon
En espagnol dans les tangos
Et dans mon cœur, ce mot résonne
Et sur le boul'vard, en automne
En passant près du Mikado
Je n'm'arrêt' plus, mais je fredonne
C'était bath, le temps du tango !

6.8.13

ΤΡΑΓΟΥΔΑΕΙ Ο ΜΠΡΥΝΟ ΚΛΑΙΡ





ΠΑΙΖΕΙ Η ORQUESTA MARIO MELFI ΚΑΙ ΤΡΑΓΟΥΔΑΕΙ Ο BRUNO CLAIR: PAQUITA



15.12.11

ΤΡΑΓΟΥΔΑ Η ΛΥΣ ΓΚΩΤΥ


ΤΡΑΓΟΥΔΑ Η LYS GAUTY: CONVERSATION TANGO

23.7.11

ΤΡΑΓΟΥΔΑ Η ΛΥΣ ΓΚΩΤΥ


ΤΡΑΓΟΥΔΑ Η LYS GAUTY: OBSESSION

10.12.10

Η ΝΤΑΛΙΝΤΑ ΤΡΑΓΟΥΔΑΕΙ ΜΙΑ ΝΑΠΟΛΙΤΑΝΙΚΗ ΚΑΝΤΣΟΝΕΤΤΑ ΣΤΑ ΓΑΛΛΙΚΑ


ΤΡΑΓΟΥΔΑΕΙ Η DALIDA


OH! LA LA!


Moi qui voulait rester célibataire
Afin de ne jamais me laisser faire
Je viens soudain de me faire prendre
Et voilà que sans rien comprendre
Je m'en vais à mon tour la tête en bas

Oh la la ! Oh la la !
Dans mon cœur je l'avoue, y a du dégât
Ne dites pas que j'ai fait sa conquête
Puisque c'est moi qui marche à la baguette
Oh la la ! Oh la la !
Tous mes amis ne me reconnaissent pas
Quand on aime, on est un peu bête
Et je suis dans ce cas là
Oh la la ! Oh la la !

Oui, depuis que j'ai fait sa connaissance
J'ai dit adieu à mon indépendance
Pour faire tous ses petits caprices
Je me suis mise à son service
C'est fou ce que l'amour a fait de moi

Oh la la ! Oh la la !
Je suis comme un pantin entre ses doigts
Je vais, je viens, je cours, je fais du zèle
Et je fais le ménage et la vaisselle
Oh la la ! Oh la la !
Et le pire, c'est qu'en faisant tout cela,
Je me dis que la vie est belle
Et que je n'la changerais pas
Oh la la ! Oh la la ! Oh la la !

Mais je serais vraiment très malhonnête
Si j'arrêtais ici ma chansonnette
Car mis à part mon esclavage
J'obtiens de petits avantages
Et quand je dis petits, n'insiste pas !

Oh la la ! Oh la la !
Lorsque le soir il me prend dans ses bras
Et que tout bas il vient me dire je t'aime
C'est comme le paradis qui se promène
Oh la la ! Oh la la !
Je n'peut pas tout vous dire, excusez-moi
Mais si vous rencontrez le même,
Sur le champ n'hésitez pas
Aimez-le, gardez-le, croyez-moi
Oh la la ! Oh la la ! Oh la la !

7.12.10

ΤΡΑΓΟΥΔΑ Η ΛΥΣΙΕΝ ΝΤΕΛΥΛ


ΤΡΑΓΟΥΔΑ Η LUCIENNE DELYLE: LUNA ROSSA

6.12.10

ΤΡΑΓΟΥΔΑΕΙ Ο ΖΑΚ ΜΠΡΕΛ


ΤΡΑΓΟΥΔΑΕΙ Ο JACQUES BREL


TANGO FUNÈBRE


Ah! je les vois déjà
Me couvrant de baisers
Et s'arrachant mes mains
Et demandant tout bas
Est-ce que la mort s'en vient
Est-ce que la mort s'en va
Est-ce qu'il est encore chaud
Est-ce qu'il est déjà froid?
Ils ouvrent mes armoires
Ils tâtent mes faïences
Ils fouillent mes tiroirs
Se régalant d'avance
De mes lettres d'amour
Enrubannées par deux
Qu'ils liront près du feu
En riant aux éclats
Ah! Ah! Ah! Ah! Ah! Ah! Ah!

Ah ! je les vois déjà
Compassés et frileux
Suivant comme des artistes
Mon costume de bois
Ils se poussent du coeur
Pour être le plus triste
Ils se poussent du bras
Pour être le premier
Z'ont amené des vieilles
Qui ne me connaissaient plus
Z'ont amené des enfants
Qui ne me connaissaient pas
Pensent au prix des fleurs
Et trouvent indécent
De ne pas mourir au printemps
Quand on aime le lilas
Ah! Ah! ...

Ah! je les vois déjà
Tous mes chers faux amis
Souriant sous le poids
Du devoir accompli
Ah je te vois déjà
Trop triste trop à l'aise
Protégeant sous le drap
Tes larmes lyonnaises
Tu ne sais même pas
Sortant de mon cimetière
Que tu entres en ton enfer
Quand s'accroche à ton bras
Le bras de ton quelconque
Le bras de ton dernier
Qui te fera pleurer
Bien autrement que moi
Ah! Ah!...
Ah! je me vois déjà
M'installant à jamais
Bien triste bien au froid
Dans mon champ d'osselets
Ah! je me vois déjà
Je me vois tout au bout
De ce voyage-là
D'où l'on revient de tout
Je vois déjà tout ça
Et on a le brave culot
D'oser me demander
De ne plus boire que de l'eau
De ne plus trousser les filles
De mettre de l'argent de côté
D'aimer le filet de maquereau
Et de crier vive le roi
Ah! Ah! Ah! ...

5.11.10

ΤΡΑΓΟΥΔΑ Η ΒΑΛΕΡΙΑ ΜΟΥΝΑΡΙΣ


ΤΡΑΓΟΥΔΑ Η VALERIA MUNARRIZ: LE TEMPS DE TANGO

22.5.09

Η ΦΡΑΝΣΟΥΑΖ ΑΡΝΤΥ ΤΡΑΓΟΥΔΑΕΙ ΑΝΤΡΙΑΝΟ ΤΣΕΛΕΝΤΑΝΟ



Η FRANÇOISE HARDY ADRIANO CELENTANO


LA MAISON OÙ J’AI GRANDI (: IL RAGAZZO DELLA VIA GLUCK)

Quand je me tourne vers mes souvenirs,
je revois la maison où j'ai grandi.
Il me revient des tas de choses:
je vois des roses dans un jardin.
Là où vivaient des arbres, maintenant
la ville est là,
et la maison, les fleurs que j'aimais tant,
n'existent plus.
Ils savaient rire, tous mes amis,
ils savaient si bien partager mes jeux,
mais tout doit finir pourtant dans la vie,
et j'ai dû partir, les larmes aux yeux.
Mes amis me demandaient: "Pourquoi pleurer?"
et "Couvrir le monde vaut mieux que rester.
Tu trouveras toutes les choses qu'ici
on ne voit pas,
toute une ville qui s'endort la nuit
dans la lumière."
Quand j'ai quitté ce coin de mon enfance,
je savais déjà que j'y laissais mon cœur.
Tous mes amis, oui, enviaient ma chance,
mais moi, je pense encore à leur bonheur.,
à l'insouciance qui les faisait rire,
et il me semble que je m'entends leur dire:
"Je reviendrai un jour, un beau matin
parmi vos rires,
oui, je prendrai un jour le premier train
du souvenir."
La temps a passé et me revoilà
cherchant en vain la maison que j'aimais.
Où sont les pierres et où sont les roses,
toutes les choses auxquelles je tenais?
D'elles et de mes amis plus une trace,
d'autres gens, d'autres maisons ont volé leurs places.
Là où vivaient des arbres, maintenant
la ville est là,
et la maison , où est-elle, la maison
où j'ai grandi?
Je ne sais pas où est ma maison,
la maison où j'ai grandi.
Où est ma maison?
Qui sait où est ma maison?
Ma maison, où est ma maison?
Qui sait où est ma maison? ...

8.1.09

ΖΩΡΖ ΜΠΡΑΣΣΕΝΣ ΚΑΙ ΦΑΜΠΡΙΤΣΙΟ ΝΤΕ ΑΝΤΡΕ



Ο GEORGES BRASSENS ΤΡΑΓΟΥΔΑΕΙ ΣΤΙΧΟΥΣ ΤΟΥ ANTOINE POL


LES PASSANTES


Je veux dédier ce poème
A toutes les femmes qu'on aime
Pendant quelques instants secrets
A celles qu'on connaît à peine
Qu'un destin différent entraîne
Et qu'on ne retrouve jamais
A celle qu'on voit apparaître
Une seconde à sa fenêtre
Et qui, preste, s'évanouit
Mais dont la svelte silhouette
Est si gracieuse et fluette
Qu'on en demeure épanoui
A la compagne de voyage
Dont les yeux, charmant paysage
Font paraître court le chemin
Qu'on est seul, peut-être, à comprendre
Et qu'on laisse pourtant descendre
Sans avoir effleuré sa main
A celles qui sont déjà prises
Et qui, vivant des heures grises
Près d'un être trop différent
Vous ont, inutile folie,
Laissé voir la mélancolie
D'un avenir désespérant
Chères images aperçues
Espérances d'un jour déçues
Vous serez dans l'oubli demain
Pour peu que le bonheur survienne
Il est rare qu'on se souvienne
Des épisodes du chemin
Mais si l'on a manqué sa vie
On songe avec un peu d'envie
A tous ces bonheurs entrevus
Aux baisers qu'on n'osa pas prendre
Aux coeurs qui doivent vous attendre
Aux yeux qu'on n'a jamais revus
Alors, aux soirs de lassitude
Tout en peuplant sa solitude
Des fantômes du souvenir
On pleure les lèvres absentes
De toutes ces belles passantes
Que l'on n'a pas su retenir

*******************************



ΤΡΑΓΟΥΔΑΕΙ Ο FABRIZIO DE ANDRÈ


LE PASSANTI


o dedico questa canzone
ad ogni donna pensata come amore
in un attimo di libertà
a quella conosciuta appena
non c'era tempo e valeva la pena
di perderci un secolo in più.

A quella quasi da immaginare
tanto di fretta l'hai vista passare
dal balcone a un segreto più in là
e ti piace ricordarne il sorriso
che non ti ha fatto e che tu le hai deciso
in un vuoto di felicità.

Alla compagna di viaggio
i suoi occhi il più bel paesaggio
fan sembrare più corto il cammino
e magari sei l'unico a capirla
e la fai scendere senza seguirla
senza averle sfiorato la mano.

A quelle che sono già prese
e che vivendo delle ore deluse
con un uomo ormai troppo cambiato
ti hanno lasciato, inutile pazzia,
vedere il fondo della malinconia
di un avvenire disperato.

Immagini care per qualche istante
sarete presto una folla distante
scavalcate da un ricordo più vicino
per poco che la felicità ritorni
è molto raro che ci si ricordi
degli episodi del cammino.

Ma se la vita smette di aiutarti
è più difficile dimenticarti
di quelle felicità intraviste
dei baci che non si è osato dare
delle occasioni lasciate ad aspettare
degli occhi mai più rivisti.

Allora nei momenti di solitudine
quando il rimpianto diventa abitudine,
una maniera di viversi insieme,
si piangono le labbra assenti
di tutte le belle passanti
che non siamo riusciti a trattenere.

12.9.08

Η ΛΥΣ ΓΚΩΤΥ ΤΡΑΓΟΥΔΑΕΙ ΜΙΑ ΚΑΝΤΣΟΝΕΤΤΑ ΣΤΑ ΓΑΛΛΙΚΑ


ΤΡΑΓΟΥΔΑ Η LYS GAUTHY


LE CHALAND QUI PASSE (= PARLAMI D’AMORE, MARIÙ)


La nuit s'est faite, la berge
S'estompe et se perd...
Un bal musette, une auberge
Ouvrent leurs yeux pers.
Le chaland glisse sans trêve
Sur l'eau de satin,
Où s'en va-t-il ?... Vers quel rêve...
Vers quel incertain
Du destin ?...

Ne pensons à rien... le courant
Fait de nous toujours des errants;
Sur mon chaland, sautant d'un quai,
L'amour peut-être s'est embarqué...
*Aimons-nous ce soir sans songer
*A ce que demain peut changer,
*Au fil de l'eau point de serments:
Ce n'est que sur terre qu'on ment!

Ta bouche est triste et je pense
A ces fruits mûris
Loin du soleil qui dispense
Leurs chauds coloris,
Mais sous ma lèvre enfiévrée
Par l'onde et le vent,
Je veux la voir empourprée
Comme au jour levant
Les auvents...

Ne pensons à rien... le courant
Fait de nous toujours des errants;
Sur mon chaland, sautant d'un quai,
L'amour peut-être s'est embarqué...
*Aimons-nous ce soir sans songer
*A ce que demain peut changer,
*Au fil de l'eau point de serments:
Ce n'est que sur terre qu'on ment!



Μουσική: Cesare Andrea Bixio.
Στίχοι: André de Badet.
Τραγούδι του 1931. Ηχογράφηση του 1933.

17.7.08

Η ΡΙΝΑ ΚΕΤΤΥ ΤΡΑΓΟΥΔΑ ΕΝΑ ΓΑΛΛΙΚΟ ΤΑΝΓΚΟ


Η RINA KETTY ΤΡΑΓΟΥΔΑ ΤΟ "NUITS SANT TOI" (1939).

Rina Ketty (neé Rina Piccheto, 1911 in Torino, Italy)emerged in Paris in the late 1930s as the famous accordeon vituoso, Jean Vaissade's lover (and later - his wife). Her small, yet strong and crystal clear voice soon became one of the best known voices in the field of French romantic song. Rina did not have any musical education, her only singing practice being the convent choir in her native town. Her partnership with such experienced and sophisticated artist as Vaissade, who wrote lot of the most beautiful songs for her, made her a star. Her most famous hit was just before WW II the slow-fox "J'attendrai" - although originally Italian (composed by Dino Olivieri) became, due to her interpretation, the international schlager and an evergreen still played today.

Recording: Rina Ketty - Nuits sans toi (tango chanté)(Chanty/Marbot) Pathé 1939

15.5.08

"ΓΑΛΛΙΚΟ ΤΑΝΓΚΟ": ΤΡΑΓΟΥΔΑ Η ΛΥΣΙΕΝ ΜΠΟΥΑΓΙΕ


ΤΡΑΓΟΥΔΑ Η LUCIENNE BOYER


TANGO FRANÇAIS


Lucienne Boyer (1901-1983) is reproaching: „Ah, why do you lie ?!" , Lady-in-Blue, the most popular French lady singer in pre-war Poland. I find elegance and delicacy in her renditions, however, a little flame burning brightly underneath may be sensed, too (the present rendition !). Visited Warsaw in 1937 and gave concerts in the Great Theatre which happened 21 years later, again. Miss Boyer had a few tangos in her repertoire and it was not easy for me to make the final choice. A photo taken from "AS", 1937; was accompanying an interview given by the star for this popular Polish weekly magazine of those years.

21.12.07

ΤΑΝΓΚΟ ΣΤΟ ΠΑΡΙΣΙ - ΤΡΑΓΟΥΔΑ Η ΖΟΖΕΦΙΝ ΜΠΕΪΚΕΡ



Η JOSÉPHINE BAKER τραγουδά το TANGO FRANÇAIS.

23.11.07

"ΓΑΛΛΙΚΟ ΤΑΝΓΚΟ" ΜΕ ΤΟΝ ΤΙΝΟ ΡΟΣΣΙ



Τραγουδάει ο Tino Rossi.

Ο ΤΙΝΟ ΡΟΣΣΙ ΤΡΑΓΟΥΔΑΕΙ ΤΟ "ΓΑΛΑΖΙΟ ΤΑΝΓΚΟ"



ΤΡΑΓΟΥΔΑΕΙ ΚΑΙ ΠΑΛΙ Ο TINO ROSSI

LE TANGO BLEU


Tout le bleu du ciel
Danse dans tes yeux
Tout le bleu pastel
D'un tango qui chante
Pour nous deux
Donne-moi ton cœur
Donne-moi ta vie
Revivons le bonheur
Du jour où je t'ai suivie

Je n'entends plus rien
Que ce chant là-bas
Est-ce le vent musicien
Où mon cœur qui bat
Je suis si bien entre tes bras
Mais pourquoi songer
Mais pourquoi savoir
Que c'est un rêve léger
Flottant dans l'indigo du soir

Tout le bleu du ciel
chœur : Tout l'horizon du ciel immense
Tourne autour de nous
chœur : C'est le miracle qui commence
Tout le bleu pastel
D'un tango qu'on danse joue à joue
chœur : Laissez-vous prendre à sa romance
Des reflets changeants
chœur : Penchée sur vous la lune veille
Sont dans tes cheveux
chœur : Mon Dieu l'amour fait des merveilles
Une étoile d'argent
Emporte en passant mes vœux
chœur ( xxxxxx se font câlines)

Donne-moi tes nuits
Donne-moi tes jours
Faisons de l'heure qui fuit
Un rêve qui vivra toujours



Στίχοι και Μουσική: M. Parish / L. Anderson.
Τραγούδι του 1952.